Le comité composé aujourd’hui de 24 membres a un rôle « politique »:
Définir la stratégie nécessaire pour améliorer la race, la défendre, la représenter tant au national qu’à l’international…. Il est redevable de la bonne gestion financière, il doit maîtriser la communication interne et externe… et valider les propositions faites par le bureau en conformité avec les stratégies retenues.

Dans un monde où le temps est de plus en plus contracté, où les exigences sont de moins en moins patientes. Plus on est, plus les réunions sont difficiles à planifier, les décisions difficiles à prendre…, je me demande s’il ne serait pas souhaitable de réduire le comité à 18 membres ?

Le bureau est chargé de traduire en actions, les orientations du comité, de manager les commissions, de présenter au comité des propositions à valider…

Les commissions sont chargées de proposer au bureau des actions de terrain, à mettre en place des expériences et à analyser leur impact. Elles doivent être composées en majorité de personnes expérimentées dans chacun des  domaines et être ouvertes vers l’extérieur.

Les juges : vérifier la conformité du cheptel présenté au standard, appliquer la politique d’élevage retenue, décliner sur le terrain les orientations et mesures validées par le comité, participer aux expériences de terrain, retours d’informations …

Ne pouvant être décideur et être celui qui applique, aucun juge ne devrait être membre du comité. Cela n’exclu pas un juge mais tant qu’il est membre du comité, il ne peut exercer.

Bien sur, ces structures ont bien d’autres activités, je me suis limité aux principes de fonctionnement et surtout leur inter-dépendance.

Quelle que soit la pertinence des idées ou propositions avancées, elles ne perdureront que si les fondations sont saines.

Tout pour le berger allemand et rien que le berger allemand

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